mort ou endormi ? |
Bonjour à chacune et chacun.
Depuis un mois, j'ai passé beaucoup de temps
- dans la communauté des "sœurs ouvrières de Jésus de Nazareth".... avec elles, j'ai pris du temps pour prier, me détendre et surtout bricoler, et entretenir la maison.
en plein bricolage avec Erminia (Italienne) |
derrière la charrue...comme en France dans les années 1950 ! |
Leçon de repiquage, donnée par Luc. |
photo sur la digue et devant les rizières repiquées |
fatigués , mais heureux du travail réalisé |
le tri des plants..... à l'ombre ! |
la pause casse-croute....et thé ! |
Le conseil de Gestion du projet RIZ-JOC avec quelques travailleurs |
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le ministre du culte (habillé avec le tissu chrétien sorti pour la fête) |
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Le ministre (qui est aussi Albinos) salue le Nonce à la fin de la célébration |
tous habillés avec la même chasuble du 50aire !!! |
Ousmane Cherif Haïdara n’est pas d’accord que la politique soit
mêlée à la religion. Pour lui, ce sont deux choses diamétralement opposées.
Son association a toujours reçu des hommes politiques pour les
aider à se faire élire, mais ils ne se sont jamais prêtés à ce jeu. Par contre,
d’autres le font de façon honteuse. Ils n’hésitent même pas à s’afficher avec
eux publiquement. Les religieux n’ont rien à faire sur la scène politique, a
ajouté le guide.
Le pays n’est pas vendu mais presque
L’homme de Dieu, visiblement très remonté contre la situation du
pays, affirme qu’il ne dirait pas que le pays est vendu, mais il est en passe
de l’être. Car il est impensable que des patriotes puissent devenir des
fossoyeurs de la République en voulant tirer profit de la crise que nous
vivons. Cette crise est devenue un fonds de commerce pour certains qui
s’enrichissent sans vergogne sur la misère du peuple. C’est une véritable
catastrophe qui se prépare.
Les leaders religieux doivent quitter la scène politique
Ousmane Cherif Haïdara n’est pas d’accord que la politique soit
mêlée à la religion. Pour lui, ce sont deux choses diamétralement opposées. Son
association a toujours reçu des hommes politiques pour les aider à se faire
élire, mais ils ne se sont jamais prêtés à ce jeu. Par contre, d’autres le font
de façon honteuse. Ils n’hésitent même pas à s’afficher avec eux publiquement.
Les religieux n’ont rien à faire sur la scène politique, a ajouté le guide.
On m’a accusé de vouloir renverser IBK
C’est avec un ton très haussé que le président de l’association
des leaders spirituels du Mali a affirmé que des gens l’ont accusé à tort de
vouloir renverser le régime actuel en place. Pour ce faire, ils ont même amené
des cassettes vidéo au Président de la République pour lui dire qu’il prêche
contre lui. C’est faux et archi faux. Il ne s’est jamais érigé contre le
pouvoir, parce que le pouvoir est sacré et Dieu recommande de lui obéir. Dieu
nous est témoin que cela n’a jamais été notre objectif et il ne le sera pas,
inchallah, conclut le Cherif. Non sans réaffirmer la disponibilité de son
organisation à appuyer la mairie dans la salubrité et le recouvrement des taxes
en mettant à sa disposition des bras valides, et à sensibiliser les militants
et adhérents dans les zawiya et les mosquées.
H.M Source: Le Prétoire
Des sacs d'oignons, sur le port de Mopti |
quelques sacs (seulement) sur le toit de la Peugeot !!! |
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Une surprise dans les rues de Mopti! Que les habitants de St Fulgent (Vendée) se réjouissent: le camion de leur ville, roule toujours ! |
A
l’occasion d’un de ses nombreux déplacements au Mali, Kadhafi avait ainsi
déclaré : « Le
nord du Mali est très riche en ressources minières. Si vous ne preniez garde,
un jour les occidentaux vont venir s’installer définitivement pour exploiter
vos richesses… ».
Tel
pourrait bien être le cas …. Une situation que nous évoquions ici-même au sein
de plusieurs articles dédiés à ce sujet. Et qui fut également évoquée lors
d’un reportage sur Arte pour le moins éloquent.
Désormais,
selon la presse malienne, des sources locales annoncent que l’exploitation de
l’uranium de Kidal serait en cours avec la complicité de la la Coordination des
mouvements de l’Azawad (CMA), laquelle regroupe les groupes armés touaregs et
arabes.
Certes,
le journal « l’Aube » concède qu’il est « difficile de vérifier l’exactitude de
cette information, dans une zone inaccessible aux autorités et autres
ressortissants maliens ».
Mais,
ajoute le journal, « tout
porte à croire que la région de Kidal n’est pas « protégée » pour
rien », les lieux semblant attirer non seulement terroristes
et bandits … mais également des puissances étrangères désireuses d’avancer
leurs pions …
Comme
nous l’indiquions ici-même, des « intérêts
colossaux seraient en jeu ». Une raison selon le journal de
faire de cette localité une véritable « forteresse « ou zone
interdite.
« Certains
Maliens sont toujours convaincus que la défaite de l’armée face aux rebelles de
Kidal, n’était pas un fait du hasard. Les rebelles auraient certainement bénéficié
du soutien d’une main invisible, l’appui d’une puissance étrangère »
ajoute tout net le journal.
« L’on comprend aisément pourquoi
l’armée et l’administration maliennes ne sont pas, pour le moment, les
bienvenues à Kidal. Il faut les maintenir loin (et très loin) pour écarter tous
les soupçons qui peuvent peser sur les complices des rebelles de Kidal, notamment
des pays étrangers qui se disent « amis » du Mali »précise
enfin l’Aube.
Disant
tout haut ce que nous soupçonnions tout bas, le journal affirme également que
des actions pourraient être menées « non
seulement justifier la présence étrangère au Mali » mais
également « empêcher
par la même occasion que d’autres partenaires du Mali ne s’intéressent aux
ressources minières » du pays.
Mais cela
n’est pas tout : le Mali regorgerait également de ces très précieuses
terres rares, même s’il ne s’agit que d’un potentiel, leur exploitation n’ayant
pas débuté.
En
dehors des achats de matériel militaire qui pourraient s’avérer fort
lucratifs pour les finances de l’Hexagone, rappelons que c’est fort
discrètement que le 23 et 24 octobre 2014, Jean-Yves Le Drian, ministre
de la Défense de la République française, s’est rendu à Dakar, accompagné par
son homologue espagnol, monsieur Pedro Morenés Eulate, et ce, avant de se
rendre à Bamako. En ligne de mire : le Forum
de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique, avais-je alors
suggéré, supputant également qu’il puisse s’agir de contrats pétroliers …
Quelques
recherches sur internet avec les mots clés « Mali » et
« Repsol » auront alors conforté mes premières intuitions.
En effet,
selon les termes même de Afrimag, pas plus tard qu’en avril 2014, le groupe
énergétique espagnol Repsol a annoncé avoir gagné le jackpot à Taoudéni.
Taoudéni, bassin pétrolier et gazier très prometteur que je soupçonne depuis
fort longtemps – et ce, bien avant le déclenchement de la guerre au Mali –
être à l’origine des tensions qui frappent la région depuis quelques mois.
Rappelons
en effet que le bassin de Taoudéni est un large bassin couvrant
une zone de plus de 500000 km2 sur la partie Sud et Est de la Mauritanie, et se
prolongeant vers l’Est jusqu’à une zone similaire dans la partie Ouest du Mali.
Offrant ainsi des ressources en matières premières qui ne peuvent qu’attirer
les appétits ….
Un
communiqué du Conseil des ministres tenu le 10 juillet 2013 au Mali faisait en
effet état d’un accord de 35 millions de dollars portant sur le partage de
production du bloc 6 de Taoudeni, l’exploitation, le transport et le raffinage
des hydrocarbures liquides ou gazeux.
La
convention avec la société de droit des Iles Caïmans est inscrite «
dans le cadre de la promotion de la recherche et de l’exploitation
d’hydrocarbure pour favoriser le développement économique du Mali », avaient
précisé les autorités maliennes …
Ladite
convention a été approuvée par un projet de décret adopté par le Conseil des
ministres tenu sous la présidence du chef de l’Etat par intérim, le professeur
Dioncounda Traoré. Un accord signé quelques jours à peine avant un scrutin
majeur pour le pays, l’élection présidentielle devant se tenir avant la fin du
mois de juillet au Mali …
En
février 2011, la presse algérienne indiquait que le groupe français Total et le
groupe énergétique national algérien Sonatrach avaient dans leurs besaces
plusieurs projets au Sahel. L’essentiel semblant être pour les deux groupes de
« rafler » le plus de projets possibles, au Mali et au Niger.
Elisabeth STUDER - www.leblogfinance.com
Source: leblogfinance
Peut-être, une tonne de ferraille, se promène sur une charrette! |
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